PHOTOGRAPHE CULINAIRE –

  • ACCUEIL
  • VEG #Le Mag
    • #4-novembre 2017
    • #3- juillet 2017
    • #2- mai 2017
    • #1- mars 2017
  • THE SWEET PICTURY
  • RECETTES
    • C’est déjà bon avec les yeux…
    • Les coulisses d’une photo.
  • FOOD
  • BONBONS
  • PACK & PUB
  • AGENCES ET CLIENTS
  • LE STUDIO
  • CONTACT

Copyright © 2014. Jean-Michel Renaudin, photographe, tous droits réservés. All Rights Reserved.

Création Emmanuelle Lauer web-el-design.com

Category Archives: C’est déjà bon avec les yeux…

Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

10 septembre 2015

| Emma2014

Jamais trop CHOU

 やがて 二人は花より キャベツを買うだろう 

Bientôt, ces deux là,
au lieu de fleurs, 
 des choux achèteront.

 森本医昌Morimoto Ishô, XXème siècle

  1. CHOUX-JAPTu te prends le chou et tu le râpes (avec une râpe à gros trous). Bien à l’avance. Tu mélanges avec le gros sel et tu laisses reposer au moins 2 heures au frais (tu imagines, tu as DEUX heures de libre pour faire ce que t’aimes !!! Grave cool, non?).
  2. Tu rinces le chou pour le dessaler. Tu prépares l’assaisonnement en mélangeant le tamari, l’huile de sésame, le sucre et l’eau. Tu verses sur le chou.
  3. Tu grilles les graines de sésame dans une poêle, à sec, tu en saupoudres la salade et tu files à table!

Fais ton marché: 

1/4 de chou blanc lisse – 1 c. à c. de gros sel (du gris qui est sorti de la mer, pas le truc tout blanc pour déneiger les rues) – 1 c. à s. de tamari (tu connais pas ? Va au magasin bio…) – 1/2 c. à s. d’huile de sésame – 1 c. à s. de graines de sésame – 1 pincée de sucre roux- 1 c. à s. d’eau

 L’œil du photographe:  On déjeune tôt en lisant le journal. C’est le calme avant le tempeh…Petit soleil voilé à gauche, lumière du jour plus fraîche à droite.  Des coups de lumière ponctuels pour décrocher la matière du chou, des reflets étendus sur la laque des baguettes. Un livre de Anne Brunner aux éditions La Plage. Stylisme Geneviève Peron, ©photo Jean-Michel Renaudin

Merci à Véronique pour la traduction française du Haïku…

chou, haïku, japonaise, salade, sauce, tamari
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

4 août 2015

| Emma2014

Flan Coco aux épices

Désirs des îles

IMAGE_flan

  1. Avant de réfléchir, tu mets le four à chauffer à 180, avec dedans un moule rond à moitié rempli d’eau.
  2. Tu fouettes les jaunes avec le sucre. Bien fort, que ça vire presque au blanc (et tes joues toutes rouges, sinon tu triches: tu as un batteur électrique, je te VOIS). Tu balances le lait de coco et le lait de vache (de riz, de soja, de chamelle, de ce que tu veux, c’est toujours bon), 1 pincée de sel + la noix de coco râpée;
  3. Tu montes les blancs en neige ferme ( change de main ou garde le batteur électrique), tu les incorpores doucement au reste, sans les casser, tu verses dans un petit moule à cake et hop, au bain-marie dans le four pour 45 minutes (le temps qu’il faut pour lire 50 nuances de Grey…mais t’es pas obligé).
  4. Tu laisses tiédir puis tu mets au frigo 2 h au moins (là, tu peux te faire le tome 2 et le 3 tranquillou, ou trouver une activité intelligente).
  5. Quand c’est le moment : tu tailles un bout de beurre comme le rocher de Gibraltar, tu le lances dans une poêle et tu fais dorer 2 minutes de chaque côté les tranches de pain d’épice; ça sent le beurre fondu, le caramel, ça grésille, tu entends les cigales, c’est moelleux et sensuel comme tous les bikinis de la plage au mois d’aout… Tu démoules le flan bien froid et tu coupes des tranches épaisses comme une sieste andalouse. tu poses le flan sur les tranches de pain d’épice, tu décores comme tu le sens et tu sers vite. Sans chichi.

Fais ton marché: 

4 tranches de pain d’épice – 3 oeufs – 100 g de noix de coco râpée – 1 boîte de 400ml de lait de coco – 50g de sucre roux – 250 ml de lait – un peu de caramel liquide (pour le décor)

 L’œil du photographe: On fait une belle lumière appétissante, un soleil discret du matin, bref c’est comme dab (même si t’es en vacances TOI….). Merci à Florian Garnier ©photo et texte Jean-Michel Renaudin

 

dessert, exotiquet, flan coco, pain d'épice
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

21 juillet 2015

| Emma2014

réglisse d’Uzès

Un (re)tour en enfance

© photo Jean-Michel Renaudin

  • – P’pa, t’as cinq euros, s’te plait ?
  • – Pour quoi faire ? Encore une sortie avec l’école ? Mais y peuvent pas vous foutre la paix cinq minutes ? Y’a déjà eu le cinéma muet, la ferme modèle, Mona Lisa, la patinoire, l’usine de chocolat…C’est quoi cette fois ? Un opéra ? Le salon de l’agriculture ? Le carnaval de Rio ?
  • – C’est pour l’anniversaire de Geoffroy samedi… Y m’a invité.
  • – Ah bon… Et ça te suffit, 5 euros, pour acheter un cadeau? Ça va pas être le cadeau du siècle dis donc ; je peux te donner un peu plus, on n’est pas misérables…
  • – Geoffroy il veut que des bonbons. Pas de cadeau. Y dit que les cadeaux pour les copains c’est rien que des saloperies parce que les parents y veulent jamais dépenser de l’argent pour ça.
  • – Oui, eh bien…il a raison, Geoffroy. M’enfin, que des bonbons, quand même… Et puis vous en mangez trop. Vous aurez tous des dents pourries à vingt ans si ça continue.
  • – T’en mangeais jamais quand t’étais petit, des bonbons ?
  • – Jamais ! Ha, mes parents, c’était autre chose…Une orange à Noël et puis c’est tout !
  • – Mais pourquoi tu vas tout le temps chez le dentiste et que tu dis qu’à la fin il t’aura changé toutes les dents et que ça t’aura coûté le prix d’une voiture ?
  • – Ça n’a rien à voir, c’est…l’hérédité ! Écoute, va prendre 10 € dans ma sacoche, et tâche d’acheter de la bonne qualité, pas des crocodiles en caoutchouc et des fraises tagada…
  • – Merci, P’pa, t’es trop cool…

Faites votre marché: 1 anniversaire, 15 rouleaux de véritable réglisse d’Uzès (en épicerie fine)

L’œil du photographe: des lumières directes un peu chaudes, presque symétriques droite et gauche, qui créent de belles zones de brillances. Une grande boîte à lumière légèrement bleutée au-dessus pour amener de la profondeur dans le fond et adoucir les ombres. Dans les rouleaux de réglisse : de l’ordre et du désordre ! Merci à Geneviève Peron. ©photo et texte Jean-Michel Renaudin

bonbon, confiserie, réglisse, rouleau, Uzes
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

7 juillet 2015

| Emma2014

Pâmoison de chèvre

en livrée de Bayonne…

IMAGE

D’une pincée d’épices chaque fromage poudreras

Au cœur d’une fine tranche de Bayonne l’emballeras

Sur la blanche soucoupe le poseras

D’huile d’olive  l’ arroseras

De quelques gouttes de vinaigre le parsèmeras

Et de félicité te pâmeras…

 

 Faites votre marché: Crottins de Chavignol (1 par personne), jambon de Bayonne, huile d’olive, vinaigre balsamique, Ras-el-hanout en poudre

 

L’œil du photographe: Une photo à la chambre, avec une longue focale et une bascule pour obtenir une zone nette précise et beaucoup de flou derrière. Plus un petit miroir pour souligner les ombres des gouttes de vinaigre en suspension.

Merci à Sophie Bertrand,  ©  photo et textes Jean-Michel Renaudin

 

 

bayonne, chavignol, chèvre, crottin, parme
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux..., Non classé |

16 juin 2015

| Emma2014

Souris de FRAMBOISE

en cueillette de fraises

médaillon fraise

– Avant, tu faisais à manger. D’ailleurs, c’est bien comme ça que tu m’as séduite ! Tu te souviens, le tiramisu, comment il a fini ? Tu pourrais faire le dessert, ce soir… Moi j’ai aucune idée. J’ai envie que tu m’étonnes…

Il restait debout dans la véranda, son téléphone éteint à la main, plein de traces de doigts sur l’écran noir. Comme une grenade dégoupillée dont on ne sait pas comment se débarrasser… Pour le dîner, il y aurait Arthur, un collègue de sa femme et Leila, la fleuriste voisine.

Il s’introduisit dans le congélateur, entre des petits pois et une demi-baguette embuée dans son sac. Il atteignit victorieusement un bac de sorbet, framboise. Bon, c’était déjà quelque chose.

À l’étage en dessous, dans le frigo, il y avait des fraises – des garriguettes. C’est lui qui les avait achetées. Hier, en sortant du métro.

Il les lava rapidement et les coupa en deux, puis les abandonna dans leur passoire en plastique vert. Il remplit d’eau froide une petite casserole, prit un sachet d’agar agar de 4 grammes et n’en garda que la moitié  (plier une feuille de papier, y étendre la poudre en une ligne régulière, la couper au milieu, faire tomber une moitié dans la casserole et ranger l’autre dans son sachet). Il donna un bouillon, ajouta le miel et laissa reposer…

Du rouge, du rose violacé, quelques éclats de vert ; trop contrasté, violent, quasi obsessionnel ! Glacial. Il manquait une touche chaleureuse. Du jaune, du doré… C’est là qu’il l’aperçut, le gros pain devant lui. Il attrapa le couteau et tailla sauvagement 4 belles tranches. D’ici ce soir, elles auraient le temps de sécher un peu. Surexcité, il cassa des œufs dans un saladier, ajouta le sucre et se mit à fouetter en faisant couler le lait dessus peu à peu; ça blanchissait et le niveau montait… ça le calmait, de fouetter.

Il disposa les fraises coupées dans 4 ramequins, laissa tomber dessus la menthe ciselée et les remplit presque à ras bord avec le liquide de la casserole qui avait refroidi. C’était tiède maintenant.

Il se sentait de meilleure humeur. Puisqu’il était lancé, il allait faire tout le repas… Un gratin de potimarron au curry de Madras, avec de fines tranches de bacon et du lait de coco. Pour l’entrée… il devait réfléchir.

Le soir, quand ils en seraient au dessert , il sortirait du frigo les assiettes, avec un médaillon de fraises démoulé sur chacune d’elles, il ferait chauffer une grande poêle avec un morceau de beurre et jetterait dedans les tranches de pain qu’il aurait mises à tremper dans la pâte, cinq minutes plus tôt. Grillées et posées croustillantes, là, contre les fraises, dans chaque assiette. Et une quenelle de sorbet à côté. Un peu de déco. Ils seraient tous à ses pieds…

Ensuite, ce serait à elle, de l’étonner.

 

faites votre marché: 

Médaillons : Fraises (500g), miel (50g), agar-agar (2g), menthe fraîche, eau (500g).

Pain perdu : lait (250 g), œufs (3), sucre de canne (50g), pain (1 tranche par personne)

Sorbet framboise. Déco:  miel liquide, graines de pavot.

 

L’œil du photographe: Un ciel couvert, une lumière tout en douceur de type lumière du jour, recrée en studio. De légers reflets pour bien « asseoir » les ingrédients sur le fond tout en gardant une impression de légèreté et de fraîcheur. Stylisme Florian Garnier, ©photo et textes Jean-Michel Renaudin

Merci à Hubert de l’agence Conjoncture pour la « cueillette de fraises »… (hubert.delamare@conjoncture.fr)

fraises, pain perdu, sorbet
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

5 juin 2015

| Emma2014

Plus fort que le Big Mac,

 Le Big Brebis

sandwich brebis

Lui  : – Chérie, elle est trop cuite cette baguette !

Elle : – Les autres, à la boulangerie ce matin, elles étaient toutes pâles. C’était la seule appétissante…

Lui  : – Bon, ok, on va faire avec.

Il sort une grosse pierre grise du frigo. La croute a l’air moisie.

Elle : – Tu vas faire des sandwiches avec ça ?

Lui  : – Tiens ! Je vais me gêner peut-être ? De la tomme de brebis venue directement des Landes, bio. Je l’ai prise au marché hier.

Il saisit le plus grand couteau et en coupe quelques tranches. Épaisses comme la paresse d’un employé de mairie. Il ouvre la baguette en deux, dépose un filet d’huile d’olive tout du long, aller et retour. Juste à côté de lui, dans la poêle en tôle noire, le lard chante.

Elle : – Et Bérénice, tu crois qu’elle va aimer ?

Lui  : – Meuh oui ! J’vais pas lui mettre de poivre, c’est tout.

Elle : – Et pas d’oignon surtout. Elle déteste les oignons, Bérénice.

Lui  : – Ah… Ces gosses !

(3 minutes plus tard)

Lui  : – Et voilà ! C’est pas mieux que des carrés de pain mou, avec du mauvais beurre et des bouts de jambon rose ?

Elle : – Humm, c’est vrai que ça a l’air drôlement bon… Mais tu crois que ce sera pratique, en voiture ? Comme tu ne veux jamais t’arrêter…

Lui  : – Oh, écoute… J’en ai marre ! Ça sert à quoi de se donner de la peine ? Et d’abord, ça me donne faim. Tiens, je vais le manger tout de suite, le mien. Fais ce que tu veux !

Il mord à pleines dents dans la croûte dorée. Un bout de lard et une tomate tombent sur la pointe de sa chaussure.

Lui  : – Ah merde! Si tu veux, pour déjeuner, on s’arrêtera sur une aire d’autoroute.

Elle : – Comme tu le sens mon chéri…

faites votre marché:  Du pain ! (1/2 baguette, ou 2 belles tranches de pain complet), 3 tranches de poitrine fumée, 100 g de tomme de brebis fermière, 1 oignon frais, 1 petite tomate, qq feuilles de salade (cresson, mâche, roquette, laitue…), 2 brins de ciboulette, huile d’olive, sel, poivre.

 L’œil du photographe: Une photo faite en studio à la chambre numérique, avec un objectif grand-angle pour renforcer les perspectives, « rentrer » dans le sandwich.  Merci à Geneviève Peron, ©  photo et textes Jean-Michel Renaudin

pique-nique, sandwich, tomme de brebis
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

21 avril 2015

| Emma2014

Tomate « Chevrotine »

 Avril exceptionnellement chaud: le Studio Renaudin sort sa lumière d’été…

tomate_ricotta_238

 

faites votre marché:  4 tomates, faisselle de chèvre 250 g, oignon frais ou cebette, 4 noisettes, herbes fraîches (basilic, ciboulette, persil, thym, menthe, hysope… 3 variétés maximum); huile d’olive, sel, poivre.

passez à l’action:

•   Démouler la faisselle et la presser dans du papier essuie-tout pour bien l’égoutter.

•   Enlever le chapeau des tomates, les évider au centre.

•   Hacher finement l’oignon ou la cébette, les herbes choisies, les noisettes.

•   Mettre dans un bol la faisselle avec toutes  les herbes, les noisettes, un filet d’huile d’olive, saler, poivrer ; bien mélanger à la fourchette.

•   Garnir les tomates du mélange, décorer, assaisonner…encore un peu !

 

 L’œil du photographe: ce superbe soleil et ses contre-jours sont bien sûr réalisés au flash électronique, en studio. Ce qui permet de doser les contrastes et les reflets au millimètre (pardon, au 1/10e de diaphragme…). Merci à Sandra Mahut, ©  photo  Jean-Michel Renaudin

été, fraicheur, fromage, tomate
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

9 mars 2015

| Emma2014

Mâche « reggiana »

salade mâche & parmesan

salade mâche & parmesan

©photo Jean-Michel Renaudin, stylisme Geneviève Peron

(Pour 4 personnes): Mâche bien fraîche, Parmesan (100 g),1 orange, 1 gousse d’ail, sel, poivre moulin, huile olive ou noix (1c.à.s.), vinaigre de cidre (1c.à.s.), pain en tranches.

  • J’équeute et je lave la mâche, j’essore bien
  • Je râpe des lamelles de Parmesan (au couteau à Parmesan ou à l’économe…)
  • Je zeste une demi orange très finement (couteau bien affûté ou zesteur); Attention, pas de blanc!
  • Dans le saladier de service, je laisse tomber un filet d’huile d’olive ou de noix, quelque gouttes de vinaigre de cidre, je sale très peu et poivre abondamment.
  • Je sers avec des tranches de pain grillé encore tièdes, à peine frottées d’ail et huilées.

mâche, orange, parmesan, salade
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

9 mars 2015

| Emma2014

crapaudine & pignons

Le meilleur des racines…

 

betterave 190

faites votre marché:

  •  1 betterave Crapaudine crue (ou une autre betterave rouge), pignons de pin, 1 radis noir,  10 brins de ciboulette ou  de persil plat, 2 c.à.s. d’huile de noix, 1  c.à.s. de vinaigre de cidre, sel, poivre.

passez à l’action:

  • La betterave crue est simplement râpée en fine julienne, les pignons étuvés 2 mn à la poêle chaude avec 1 c.à.c. de beurre, le radis noir lavé tranché en fines rondelles, sans l’éplucher;
  • On parsème de ciboulette ou de persil ciselé, on assaisonne à volonté. Et puis c’est tout!

 L’œil du photographe:  Le travail  à la chambre numérique grand format permet de gérer le flou bien plus finement qu’avec un appareil réflex. Ici, le point de netteté est volontairement ajusté sur les allumettes de betterave rouge situées devant, tout le reste est laissé flou; indépendamment de choix esthétiques, cette profondeur de champ restreinte permet de gérer « ce que l’on veut faire lire de l’image » en premier…

© photo Jean-Michel Renaudin,  merci à Geneviève Peron, styliste

betterave rouge, crapaudine, pignons, radis noir
Actualités, C'est déjà bon avec les yeux... |

5 mars 2015

| Emma2014

Salade de pâtes « Tikka Masala »

©photo Jean-Michel Renaudin, stylisme et recette Geneviève Peron

© photo Jean-Michel Renaudin, stylisme et recette Geneviève Peron

(Pour 4 personnes): blanc de poulet fermier (300 g), 1 gousse d’ail, gingembre frais rapé (1c.à.c.), 1 yaourt nature, jus d’1/2 citron, gros sel, piment rouge (chili) en poudre (1c.à.c.). Pâtes, oignon violet, roquette.

 

  • Dans un cul de poule, placez les cubes de poulet, le yaourt, le gingembre râpé, l’ail pressé, le sel, le jus de citron; saupoudrez de piment, bien remuer, couvrir et laissez mariner au moins 2h.
  • Allumez le four en position grill ; prendre les morceaux de poulet, les placer dans un plat à four et badigeonnez-les avec un peu d’huile. Grillez le poulet pendant env. 20 mn en retournant les morceaux chaque 5 mn et en les badigeonnant d’huile à chaque fois.
  • Pendant ce temps, faire cuire des pâtes (orecchie, penne ou farfalle) al dente. Les égouter ; Mélanger avec le poulet et l’oignon émincé.
  • Servir tiède ou froid dans un grand saladier, assaisonné d’un filet d’huile d’olive, sel et poivre moulus.
  • Vous pouvez décorer de quartiers de citron jaune ou vert, et de feuilles de roquette.

Pour les moins courageuses : la marinade pour Tikka Masala existe aussi toute faite, à l’épicerie indienne…

poulet, salade pâtes, tikka masala

Post navigation

Older Entries
Newer Entries

Articles récents

  • De la Terre à l’Assiette #1: le cèpe
  • Vite, ça refroidit !!!
  • Noires de Crimée, Cœur de Bœuf, Poires jaunes…
  • Carpaccio de Melon
  • Burger végé à la Plancha
  • POISSON D’AVRIL à l’unilatérale
  • Les bonbons de France
  • BON CHILI 2016
  • un C A R P A CC I O à Compostelle
  • Blanc-manger et son crisp de carottes
  • Jamais trop CHOU
  • Flan Coco aux épices
  • réglisse d’Uzès
  • Pâmoison de chèvre
  • Souris de FRAMBOISE